samedi 9 octobre 2010

On vous invite pas à prendre le thé...

Nous avons donc pris la route, avant-hier pour les français, il y a 5 jours en ratio temps/aventures dans nos têtes, hier en réalité ... (commentaire d'olive : pas très compréhensible tes explications sur le temps qui passe, Aude Jacquot. Nous avons surtout l'impression que cela fait 2 semaines que nous sommes partis)  (commentaire de Aude : ok je supprime)

Bon, en chemin s'est interposé un outlet où nous avons passé quelques heures... mais passons. Vous pensez bien que je n'ai rien trouvé à acheter dans cette bicoque... (commentaire d'olive : autre façon de dire qu'on a dépensé xxx dollars en robes ou Tshirts ?....)




Route donc pour Monterey, avec nos amis motards Hell's angels. (commentaire d'olive : très belles photos !)






Les américains sont nos amis, qu'on se le dise. Ils adorent quand on leur parle français et se pâment quand ils savent qu'on vit à Paris (ndlr : et c'est pas la peine de se plaindre les parisiens avec vos histoires de voiture à garer hein, ça nous intéresse plus, trop facile à Paris vraiment, pfff... (commentaire d'olive : fais moi penser à régler l'amende sur internet, Aude !)).
Nos amis donc nous ont invité à leur vide grenier. Ce truc typiquement "american movie" où ils vendent leurs merdouilles made in china à la sortie du garage. (commentaire d'olive : et nous avons fait une très bonne pub pour les français, parce qu'on est sympas et trop mignons !!)



Une déco de Noël (?!) et 2 cd country plus tard... c'était bien joli sur la route à 9 dollars. (commentaire d'olive : 9,50 dollars plus précisément, pour 17 miles)





Les écureuils américains sont aussi nos amis... (commentaire d'olive : sur cette photo, un écureuil du bord de mer ayant oublié son maillot de bain, sa serviette de plage et son huile bronzante !)

Mais parfois, c'est la vie, il y a des déconvenues... et les américains ne sont plus vraiment nos amis quand vient l'heure du thé... (commentaire d'olive : sans commentaires !)






Quand l'Amérique déraille, c'est sévère...

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